domaine la branche
4A地址: 暂无
开放时间: 暂无
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景点点评
What can i say ? i know very few Cabane à Sucre in the neighboring Montreal areas. And given the experience at La Branche it's unlikely i would try again.The place is kind of far from Montreal Like 30 minutes in the Rive Sud. OK this is understandable, they need the Maple trees in a small forest environment. But actually that's my first criticism. There are only a few, like 1500 tress or less in one side of the area. The rest ? corn fields which by April 5th are empty so the view is ... sad. You're in the final days of winter and you get to see a very big plowed field ... and some tress in a corner and that's all. Because a Cabane à Sucre experience is suppose to be not only the food but to feel the environment this left me with an ... 'unrewarding experience'. In the inside, the food, well it was .. ok. I can't tell that it's the best food ever. I ate better food at Porc du Cochon. I know, i know, that's a completely different experience. I just expected much better food. Oreille de criss, condiments free soup, pouding de choumeur, eggs, etc. You can get plenty of food. I just rate the food 3/5. It's ok but nothing to remember.They also have a tiny petting zoo. Well it's not a petting zoo itself. It just have two pigs, four goats, some chickens and a couple of horses used for pulling a carriage. And you can't pet you just get close to them.The best part ? the wine. The sell this wine made of frozen apples which, due to the frosting gets very sweet and it's great. Costs $25 for a small bottle, a bit pricey but great.Would i return ? i don't think so. I know it's cheap and that i can't compare it to Le Cabaret du Roi. But i was expecting something more. Better food, better "experience", better ... everything. If i'd had pay i would feel bad of having been there (it was a company trip).
La restauration en Cabanes à sucre est réservée aux Québécois et à quelques États américains limitrophes. Jadis, mes oncles possédaient une cabane à sucre traditionnelle, c.-à-d. sans service de repas. Aidés de mes cousins, ils y faisaient que du sirop d’érable dans une cuve réchauffé avec des billots de bois provenant en partie de vieux pommiers. Je connais le goût d’un bon sirop d’érable — pas un expert, mais je sais quand on essai de m’en passer une petite vite.Pour perpétuer la tradition, et surtout par amour pour mes petits-enfants, j’ai pris l’habitude de les inviter à La Cabane à sucre dès la fonte des neiges. Quelques expériences, dont une à un terrain de golf qui profite de la présence de quelques érables sur le terrain, ont été désastreuses. L’an dernier, j’ai essayé La Cabane à sucre La Branche à Saint-Isidore, attiré par la publicité telle qu’on la retrouve sur leur site internet.Si j’avais eu à juger notre visite d’avril 2013, j’aurais donné un 4 sur 5, car effectivement tout était comme annoncé. L’étoile manquante relève des extras — manque d’authenticité de par les deux picouilles qui vous traînent dans une talle d’érables, tout en observant les éoliennes voisines, ajoutées à une truie, deux cochonnets, deux chèvres et quelques poules dans une fausse grange en ciment et tôle galvanisée. Mais, comme tout est commercialisé aujourd’hui, je m’y fais quand la nourriture et le sirop sont au rendez-vous.Alors, une nouvelle visite en avril 2014 s’en est tout naturellement suivie, puisque facilement accessible depuis l’île de Montréal et la Rive-Sud, d’où arrivent mes invités. Les prix ont augmenté et ça prend 250 $ pour offrir un repas de cabane à une dizaine de personnes. Je m’en plains pas — c’est la vie en cabane moderne. Toutefois, la surprise se cachait à l’intérieur des deux contenants en verre épais et transparent sous forme de feuille d’érable aux deux extrémités de la table dont la couleur ombrée du contenu donnait naissance à mes doutes sur la qualité. Je la trouvais très foncée, mais je me disais que c’était dans la norme d’une cabane commerciale, remplie à craquer de convives.J’ai pris une soupe aux pois, légère et délicieuse, avant le plat principal d’omelette soufflée, jambon fumé, fèves au lard, bacon et oreilles de crisse avec l’excellent ketchup aux fruits et melon. Tout était comme je m’attendais et, selon ma coutume, j’ai réservé le sirop d’érable pour la deuxième assiette – une répétition en quantité plus restreinte, baignant ultimement le tout d’une couche ambrée et ample de ce que je croyais, au minimum, un sirop d’érable pur.HORREUR, DÉGOÛT ET INDIGNATION! Cette année, en plus des oreilles de crisse, on nous a servi un sirop composé — un mélange à base de maïs. Malgré que la qualité de tout le reste était au rendez-vous, juste de savoir qu’on avait le culot de placer sur notre table deux bouteilles en forme de feuilles d’érable qui contenaient un sirop frelaté m’ont laissé avec un goût plus qu’amer.J’ai demandé à notre vaillante et charmante serveuse si elle pouvait me garantir que ces bouteilles recélaient du sirop d’érable pur et elle répondit : ‘Je crois bien que oui — c’est ce qu’on m’a dit’. À la sortie, le bac de glace sur lequel reposaient les bâtonnets de tir s’avèrent tout aussi artificiels – jusqu’à des granules de cassonade en bouche avec un goût net de sirop de maïs au début et en finale.Où le bât blesse mes papilles gustatives au suprême réside dans le fait que deux cannettes de sirop d’érable pur se vendent environ 15 dollars chez tout bon détaillant. J’ai remarqué que nous avons consommé vraisemblablement que le deux tiers des bouteilles de sirop de poteau sur la table. Alors, pour sauver 20 piastres (tir inclus), la Cabane à sucre La Branche à Saint-Isidore se passera de notre clientèle l’an prochain.C’est vrai que le grand Montréal donne accès à un achalandage certain et peut-être que cette habitude de la part des citadins d’envahir ces établissements le temps des sucres fait en sorte qu’on peut servir de l’huile à moteur à certains, qu’ils y reviendraient pareil – or, je ne carbure pas au fioul frelaté le printemps venu. J’ajoute donc un tripoteur de tradition de plus à ma liste.